Édouard Lormier
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Édouard Lormier
Édouard Lormier (avant 1897)
Naissance | Saint-Omer |
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Décès | |
Nationalité | française |
Formation | École nationale supérieure des beaux-arts |
Activité | Sculpteur |
Maître |
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Édouard Lormier est un sculpteur français né le à Saint-Omer (Pas-de-Calais) et mort le à Paris (6e arrondissement).
Biographie
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Édouard Lormier naît le à Saint-Omer, fils d'Auguste Victor Lormier (marchand) et de Madeleine Florentine Peschots[1].
Il est l'élève de François Jouffroy. Il fait ses débuts au Salon de 1886.
Il meurt le au 47, rue Jacob à Paris[2].
Œuvres
- 1877 : Histrion, plâtre, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin.
- 1880 : Berger et son chien, plâtre[réf. nécessaire].
- 1880 : La République Française, plâtre[réf. nécessaire].
- 1881 : Monument à Frédéric Sauvage, bas-relief en bronze ornant le piédestal du monument réalisé par Jules-Isidore Lafrance, Boulogne-sur-Mer[3].
- 1883 : Monument à Jacqueline Robins, statue en bronze, Saint-Omer, envoyé à la fonte en 1942 sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Les faits révélèrent que l'histoire de cette « héroïne » n'était qu'une imposture[4].
- 1890 : Carlotta Patti, médaillon en bronze, 45 cm de diamètre, ornant la stèle dédiée à la cantatrice au cimetière de Montmartre, 28e division, Paris.
- 1893 : Monument de la Victoire ou Monument aux 8 et , Dunkerque, place de la Victoire. Bronze, fondeur Maurice de Nonvilliers. Le bas-relief du piédestal représente le maire Emmery présentant les fortifications au général Joseph Souham[5].
- 1894 : Femme à l'éventail, bronze[réf. nécessaire].
- 1898 : Monument aux morts de 1870, haut-relief en bronze, Boulogne-sur-Mer, jardin de la porte des Degrés[6].
- 1899 : Monument des sauveteurs ou Monument à Gavet-Mareschal, statue en bronze, fondeur Susse, Calais[7].
- 1900 : Monument à Pelletier et Caventou, groupe en bronze, Paris, boulevard Saint-Michel, envoyé à la fonte en 1942 sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux[8].
- 1902 : Monument à l’évêque d’Adran, groupe en bronze, anciennement devant la cathédrale Notre-Dame de Saïgon, œuvre disparue[9].
- 1912 : Buste de Jean-Camille Fulbert-Dumonteil, buste en bronze fondu par les frères Montagutelli, Périgueux, musée d'Art et d'Archéologie du Périgord.
- Œuvres d'Édouard Lormier
- Jacqueline Robins (Salon de 1883)[Note 1].
- Statue de Jacqueline Robins place du Vainquai à Saint-Omer.
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Notes et références
Notes
- ↑ Dessin d'Édouard Lormier d'après le modèle de la statue en plâtre.
Références
- ↑ « acte de naissance no 46 », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ), p. 14.
- ↑ Archives de Paris acte de décès no 1458, vue 14 / 31
- ↑ Frédéric Sauvage, sur cnum.cnam.fr.
- ↑ « Monument à Jacqueline Robins – Saint-Omer (fondu) », notice sur e-monumen.net.
- ↑ « Monument de la Victoire, ou Monument aux 8 et 9 septembre 1793 – Dunkerque », notice sur e-monumen.net.
- ↑ « Monument aux morts de 1870 – Boulogne-sur-Mer », notice sur e-monumen.net.
- ↑ « Monument des sauveteurs, ou Monument à Gavet-Mareschal – Calais », notice sur e-monumen.net.
- ↑ « Monument à Pelletier et Caventou – Paris, 5e arr. », notice sur e-monumen.net.
- ↑ « Monument à l’évêque d’Adran – Saïgon (disparu) », notice sur e-monumen.net.
Annexes
Liens externes
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- Biographie d'Édouard Lormier sur e-monumen.net.
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