Jacques de Tonnancour
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Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | canadienne ![]() |
Formation | |
Activités | Peintre, photographe, professeur d'université ![]() |
Membre de | |
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Genre artistique | Art public ![]() |
Distinctions | Membre de l'Ordre du Canada () Officier de l'Ordre national du Québec () Membre de l'Académie royale des arts du Canada ![]() |
Archives conservées par | Université du Québec à Montréal (170P)[1] ![]() |
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Jacques de Tonnancour, ou Jacques Godefroy de Tonnancour (Montréal, — ) est un peintre et professeur de peinture québécois.
Biographie
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/50/Jacques_de_Tonnancour%2C_Sculpture_motoris%C3%A9e_%286908954352%29.jpg/170px-Jacques_de_Tonnancour%2C_Sculpture_motoris%C3%A9e_%286908954352%29.jpg)
Jacques de Tonnancour étudie à l'École des beaux-arts de Montréal à partir de 1937 mais, déçu par l'esthétique trop conservatrice des enseignants, il quitte l'institution au bout de trois ans. Admirateur de Goodridge Roberts et de Paul-Émile Borduas, il multiplie les relations amicales et les discussions théoriques avec les membres de l'avant-garde artistique de son temps.
Tonnancour a enseigné[2] à l'Université du Québec à Montréal, à l'Université de la Colombie-Britannique et à l'Université Mount Allison; parmi ses élèves, Claude Tousignant et Henry Wanton Jones.
En 1948, en collaboration avec Alfred Pellan, il écrit le manifeste Prisme d'yeux[3] qui s'opposera aux signataires du Refus global en arguant que l'art ne doit pas avoir des visées politiques.
Il abandonne la peinture en 1982 pour se consacrer à l'entomologie[4].
Honneurs
- 1968 - Médaille du Conseil des Arts du Canada
- 1979 - Prix Louis-Philippe-Hébert
- 1979 - Officier de l'Ordre du Canada
- 1986 - Doctorat honorifique de l'Université Concordia
- 1990 - Doctorat honorifique de l'Université McGill
- 1993 - Officier de l'Ordre national du Québec
- 2002 - Prix Marcel-Couture
Musées et collections publiques
- Agnes Etherington Art Centre
- Art Gallery of Alberta
- Art Gallery of Greater Victoria
- Art Gallery of Hamilton
- Art Gallery of Nova Scotia
- Carleton University Art Gallery
- Collection d'oeuvres d'art, Université de Montréal
- Confederation Centre Art Gallery & Museum
- Galerie de l'UQAM
- Galerie Leonard & Bina Ellen, Université Concordia
- Musée d'art contemporain de Montréal
- Musée d'art de Joliette
- Musée des beaux-arts de l'Ontario
- Musée des beaux-arts de Montréal
- Musée des beaux-arts du Canada
- Musée des maîtres et artisans du Québec
- Museum London
- Musée national des beaux-arts du Québec[5]
- Robert McLaughlin Gallery
- Vancouver Art Gallery
- Vanderbilt University Fine Arts Gallery
- Winnipeg Art Gallery[6]
Références
- ↑ « https://archives.uqam.ca/fonds-archives/archives-privees/11-gestion-archives-historiques/46-fonds-archives.html?varcote=170P » (consulté le )
- ↑ Réa Montbizon, « Jacques de Tonnancour », Vie des arts, no 46, , p. 46–49 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
- ↑ Gilles Hénault, « Jacques de Tonnancour (1917-2005) : un sens aigu du vivant », Vie des arts, vol. 49, no 198, , p. 54–55 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
- ↑ Michèle Tremblay-Gillon, « Jacques de Tonnancour et l’invisible dans le visible », Vie des arts, vol. 31, no 123, , p. 50–51 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Jacques de Tonnancour | Collection Musée national des beaux-arts du Québec », sur collections.mnbaq.org (consulté le )
- ↑ (en-CA) « G-58-11 Landscape de Tonnancour,Jacques » WAG », sur WAG (consulté le )
Liens externes
- Notices d'autorité
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- Pays-Bas
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- Ressources relatives aux beaux-arts
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- AGORHA
- Bénézit
- Delarge
- Grove Art Online
- MNBAQ
- Musée des beaux-arts du Canada
- MutualArt
- RKDartists
- Union List of Artist Names
- Académie royale des arts du Canada
- Métro de Montréal: Jacques de Tonnancour
- Le Devoir: Jacques de Tonnancour, Anges ou démons?
- Décès de Jacques de Tonnancour
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