Louise Richardson

Cet article est une ébauche concernant une femme politique irlandaise.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Louise Richardson
Louise Richardson, en 2009.
Fonction
Vice-chancelier de l'université d'Oxford
depuis le
Andrew Hamilton (en)
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
TramoreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
irlandaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
ProfesseureVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Louise Richardson, née en 1958 à Tramore dans le comté de Waterford en Irlande, est une politologue irlandaise. Après avoir été Principal et Vice-chancellor de l'université de St Andrews, elle est désormais Vice-chancellor de l'université d'Oxford. Elle était auparavant employée à l'université Harvard où elle était doyenne adjointe du Radcliffe Institute for Advanded Study. Elle est aussi professeur honoraire à la School of International Relations et membre du Centre for the Study of Terrorism and Political Violence[1].

Jeunesse

En , alors âgée de 14 ans, elle souhaite participer à la marche de protestation contre le Bloody Sunday, mais ses parents l'en empêchent[1].

Lorsqu'elle étudiait l'histoire au Trinity College de Dublin, elle fut approchée par l'organisation étudiante de l'IRA mais n'y entra pas[1]. Elle passa son master à l'université de Californie, puis son doctorat à Harvard. Elle gagna le Summer Prize pour sa thèse.

Carrière

De 1989 à 2001, elle enseigna la sécurité internationale à l'université Harvard. En 2006, elle publie What terrorists want, un essai sur la violence politique. Le , elle a été nommée à la tête de l'université de St Andrews, succédant à Brian Lang. Elle est la première femme et la première catholique à occuper cette place[2].

Positions sur le terrorisme

Pour Richardson, les terroristes « se voient dans le rôle de David contre Goliath, comme des personnes nobles et altruistes qui visent leurs objectifs de façon rationnelle ». Elle considère que l'un des attraits des groupes terroristes est qu'ils « procurent le sentiment d'entrer dans une communauté culturelle forte »[1].

Publications

  • Louise Richardson, When Allies Differ: Anglo-American Relations in the Suez and Falkland Crises, 1996
  • (en) Louise Richardson, What terrorists want: Understanding the enemy, containing the threat, Random House,
  • Louise Richardson et Robert Art, Democracy and Counterterrorism: Lessons from the Past, United States Institute of Peace, Washington DC, 2007

Références

  1. a b c et d http://www.courrierinternational.fr/article.asp?obj_id=95952 LOUISE RICHARDSON • A deux doigts du terrorisme (Ennie Erdal in Courrier International n° 960 du 26 au 31 mars 2009)
  2. "In Scotland, New Leadership Crumbles Old Barrier" article by Raymond Bonner in The New York Times March 27, 2009

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Belgique
    • Pays-Bas
    • Israël
    • NUKAT
    • Norvège
    • Tchéquie
    • Lettonie
    • WorldCat
  • (en) Biography at Radcliffe
  • icône décorative Portail de la politique
  • icône décorative Portail des relations internationales
  • icône décorative Portail de l’Irlande