Maurice Larcange

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().

Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article n’est pas rédigé dans un style encyclopédique ().

Vous pouvez améliorer sa rédaction !

Maurice Larcange
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
HaveluyVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 78 ans)
Le Port-MarlyVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
CompositeurVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Instrument
Labels
Decca Records, Polydor RecordsVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Maurice Larcanche dit Maurice Larcange est un accordéoniste et compositeur français né le à Haveluy près de Valenciennes ( Nord) et mort le .

Il fait partie avec Roland Zaninetti, Aimable, Joss Baselli, André Lips et Jean Cardon, de la génération d'accordéonistes de l'entre-deux-guerres, originaires du Nord de la France.


Biographie

Son père Émile Larcanche, violoniste, trompettiste, banjoïste, mandoliniste et accordéoniste est un professeur de musique qui dirige une école d'accordéon à Trith-Saint-Léger, ville voisine de Valenciennes et a, notamment, comme élève un dénommé Aimable Pluchard dit Aimable.

Maurice Larcange apprend le cor et l'accordéon. Pourtant, il rêve d'athlétisme et veut pratiquer le football. Néanmoins, l'accordéon l'attire ; et il étudie sérieusement la musique.[Interprétation personnelle ?] Avec son frère André à la batterie, ils participent à des galas.

En 1946, il rencontre un ami saxophoniste professionnel qui lui demande de venir avec lui en Bretagne pour jouer sur un bateau. En fait, rien de tout cela existe et ils errent de plages en plages, de bars en bars jusqu'à ce qu'un patron d'une boîte de Perros-Guirec repère Maurice et l'engage.[réf. nécessaire]

Après l'armée, il retrouve Aimable, ami de son père, qui lui conseille de transformer son patronyme Larcanche en Larcange et, de plus, il lui trouve du travail à Paris.[réf. nécessaire]

Il commence au Floréal puis à La Croix de Malte, au Balthazar, au Madrid, à la Boule rouge. Il trouve un engagement chez Polydor et, dès son premier disque, il obtient un énorme[non neutre] succès en Allemagne.[réf. nécessaire]

À partir des années 50, il est connu tant au niveau national qu'au niveau international à travers de nombreux enregistrements, arrangements et compositions. À ce propos, on lui doit des centaines de compositions dont certaines sont des succès comme : 'La marches des footballeurs' avec André Verchuren, 'Génération musette', 'Pistonette', 'C'est bon le madison', 'Paris musique, Paris musette', 'La grande Valse', 'Capricieuse', 'Look Musette', etc. et des chansons.

Il obtient le grand prix du disque de l'Académie Charles Cros en 1969. Il participe au bureau du Syndicat National des Artistes Chefs d'Orchestre Professionnels de Variétés et Arrangeurs (S.N.A.C.O.P.V.A.)[1] jusqu'à dans les années 1990 et reçoit une « appogiature » en 2002.

Faisant partie des membres du jury du Trophée Emile Vacher, il découvre une fillette âgée de 9 ans et demi, qui interprète Les Triolets avec une virtuosité extraordinaire Domi Emorine, qui lui donne l'idée de créer « Les Petits Prodiges de l'Accordéon » et en 1987, il fonde sa propre école d'accordéon et contribue, ainsi, à lancer la carrière de très jeunes accordéonistes.

Pour tous ces jeunes, il est l'homme de la providence, généreux au plein sens du terme ce qui lui vaut le surnom de « Momo ». Le seul handicap de « Momo » est d'être constamment en avance sur son temps.[Interprétation personnelle ?]

Il n'est pas étranger au renouveau du musette en France et il défend avec opiniâtreté la Chanson française. Il permet à l'accordéon d'acquérir, auprès du public, la place qu'il mérite.[Interprétation personnelle ?]

Il fait, également, des tournées avec la Plus Grande Guinguette du Monde. Il vit une partie de son existence au 15 bis de l'avenue Victor Hugo à Chatou.

Il décède à l'âge de 78 ans d'un cancer foudroyant et sa tombe se trouve au cimetière de Croissy-sur-Seine (Yvelines).

Discographie

  • Discographie

Source

  • Jean Baréal et André Théron, Les Rois de l'accordéon, Robert Laffont, 1967.
  • Tranche de vie, Maurice Larcange, Accordéon et accordéonistes n°19, avril 2003

Notes et références

  1. Site du SNACOPVA

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • Espagne
    • Belgique
    • Pologne
    • WorldCat
  • Pages de Maurice larcange
  • Chers disparus
  • icône décorative Portail de la musique